Annabelle Stephenson
Ubisoft, l’éditeur de jeux vidéo très attendu, se lance enfin dans l’aventure pirate avec « Skull and Bones ». Ce jeu risqué vise à se démarquer dans l’industrie du gaming, où les pirates ne sont pas aussi présents que dans les films et les autres médias.
Le développement du jeu s’est révélé aussi difficile qu’une traversée vers les Caraïbes, en raison de retards, de départs d’employés, de changements de stratégie et de la pression de livrer un jeu vidéo coûteux sur un marché concurrentiel. Malgré tout, plusieurs studios d’Ubisoft ont travaillé activement pour maintenir le projet à flot.
Sept ans après la publication des premières images du jeu en 2017, « Skull and Bones » est enfin prêt. Les joueurs auront l’opportunité d’explorer un monde virtuel ouvert, de naviguer en solo ou de « former un gang de pirates et de terroriser les routes commerciales de l’océan Indien », déclare le directeur créatif d’Ubisoft, Justin Farren.
Les joueurs incarneront un pirate en herbe qui débute de zéro et essaie de devenir le pirate le plus redouté de l’océan Indien en pillant et en faisant du commerce. Naviguer à travers les marées et les conditions météorologiques, entretenir le navire et l’équipage, collecter des ressources et se battre ne sont que quelques-uns des défis auxquels ils seront confrontés.
« Ce jeu est extrêmement ambitieux », a récemment déclaré le PDG d’Ubisoft, Yves Guillemot, lors d’une discussion sur les résultats financiers. « Les gens pourront constater à quel point ce jeu est vaste et complet. »
Maintenant, Ubisoft doit convaincre les joueurs que « Skull and Bones » en valait la peine et qu’il mérite le prix attendu de 70 dollars. Plus le jeu est retardé, plus les attentes de vente diminuent, tandis que les attentes des joueurs en termes de qualité augmentent.
Les critiques sur Reddit ont exprimé des inquiétudes quant à l’incapacité de quitter le navire et d’explorer la terre. Certains craignaient également que le jeu soit rempli de publicités et de microtransactions. Il est cependant important de prendre ces critiques avec des pincettes, car les critiques ont tendance à être plus vocales que les joueurs satisfaits.
Indépendamment de la réception du jeu, Ubisoft prévoit déjà d’ajouter de nouveaux navires, de nouveaux adversaires et d’autres options. La création d’une base de fans dévoués pourrait permettre à Ubisoft de maintenir la rentabilité du jeu en introduisant indéfiniment de nouveaux contenus, fonctionnalités et événements.
Foire aux questions (FAQ) :
Quelles sont les principales fonctionnalités de Skull and Bones ?
Skull and Bones est un jeu de pirates qui permet aux joueurs de naviguer, d’explorer un monde virtuel ouvert, de piller, de faire du commerce et de participer à des batailles navales. Les joueurs incarnent un pirate échoué qui s’efforce de devenir le plus grand pirate de l’océan Indien.
Quels sont les configurations requises pour le jeu ?
Les exigences matérielles exactes pour le jeu sont actuellement inconnues. Cependant, le jeu peut être joué sur PlayStation, Xbox et PC. Il est conseillé de consulter les sites web de l’éditeur et du développeur pour obtenir des informations précises.
Est-il possible de quitter le navire et d’explorer la terre dans le jeu ?
Certains joueurs étaient préoccupés par l’absence de possibilité de quitter le navire et d’explorer la terre. Les informations concernant cette fonctionnalité n’ont pas encore été confirmées, mais il est bon de garder un œil sur les dernières nouvelles et mises à jour sur le jeu.
Le jeu inclura-t-il des publicités et des microtransactions ?
Certains joueurs craignaient que le jeu soit rempli de publicités et de microtransactions. Les informations concernant ces aspects n’ont pas encore été confirmées. Cependant, il est important de se rappeler que certaines plaintes peuvent être exagérées et qu’Ubisoft peut prendre des mesures appropriées pour garantir une expérience de jeu satisfaisante.
Liens connexes suggérés :
Site officiel d’Ubisoft
Page Facebook officielle de Skull and Bones
Subreddit de Skull and Bones
The source of the article is from the blog aovotice.cz
